c'était l'été 2005, peut être le pire de ma vie je venais de perdre mes deux chiennes, Rosalie bulldog anglais et Pépita bouledogue français, asphyxiées dans ma voiture dans les garages de la sncm car les cabines sont interdites aux chiens. Le chenil? (situé au 11ème sur ce bateau là!) impensable pour Rosalie qui ventilait assez mal, donc nous optons pour l'autre option possible: la voiture, dans l'ignorance totale de la fournaise que serait cette traversée compliquée par la saturation en gaz d'échappements à cette période de l'année. Verdict mes deux louloutes anéanties le lendemain matin, seul rescapé le Yoyo notre boule aveugle, avec un oeil au beurre noir vu qu'il s'était battu, lui, dans les escaliers en montant au chenil et que nous avions manqué nous, nous battre avec le maitre de l'autre...Le sentiment d'être désossé vivant ou fendu comme une bûche d'un coup de hâche l'avez vous déjà ressenti???Puis il y a eu la rentrée, notre visite chez les clochards et Cartouche, tant de chaleur autour d'elle le désir si palpable de tous, qu'enfin ce soit son jour!!!MERCI